Mon parcours
La Schola Cantorum
Après 4 années de formation en danse thérapie à la Schola Cantorum finies en 2002, je commence à travailler dans le secteur médico-social. Ces études m’ont sensibilisé à l’écoute du corps et ses images, la conscience corporelle, l’importance de la relation, du jeu, le support d’énergie du groupe, le souffle comme ancrage. J’interviens durant plus de 15 ans dans des structures spécialisées (hôpitaux, IME,…) en tant que danse-thérapeute. Dès le début, je ressens vite le besoin de continuer à me former et je commence quelques années avec « le jardin d’idées » une formation psychanalytique autour du transgénérationnel. Quelques suggestions et traces de mon travail de chorégraphe avec la compagnie que j’ai fondée Corps Pluriel.
J’intègre la Société de Pyschanalyse Freudienne
Puis, j’intègre la Société de Psychanalyse Freudienne durant 7 années, je commence par suivre les cours sur l’image du corps dans l’autisme et dans la psychose, (publics avec lesquels je travaillais en institution), puis, j’intègre ceux sur Ferenczi, le traumastisme, Piera Aulagnier, la psychanalyse d’enfants. J’y construis mes bases théoriques et la conscience de la puissance du Verbe. Durant ce temps, je suis aussi un travail analytique sur le divan et finis une première tranche d’analyse. Mon travail se fait de plus en plus en lien avec le secteur psychanalytique, intervention à la faculté Paris 7 Diderot dans le DU sur l’autisme, interventions diverses sur des séminaires à la Société de Psychanalyse Freudienne (dans celui de Christian Chaput sur l’image du corps dans l’autisme et la psychose, ou sur des journées sur le transfert). Ainsi, une nouvelle ouverture se fait aussi dans mon travail institutionnel avec des structures d’orientations clairement psychanalytiques (IRAEC, Espace Andrée Chedid, CMP d’Issy-les-Moulineaux….)
Un coup de coeur pour la Drôme
En choisissant de m’installer dans la Drôme, je commence une formation dans un domaine qui me passionne : les neurosciences. J’intègre celle en intelligence relationnelle proposée par François Ledoze, neurologue et psychopraticien. J’y trouve une façon d’accompagner des êtres sur leur chemin en suivant les indices biologiques. Selon l’état de la personne, celle-ci aura besoin d’un engagement sincère et profond du thérapeute. Une posture de neutralité bienveillante ne suffit pas. L’écoute du biologique pour adapter sa présence est un repère fiable, il a fait ses preuves. Le fonctionnement du cerveau dans les cas de négligences parentales ou de traumas nous montre notre besoin vital de relation pour notre épanouissement, besoin d’être reconnu en tant qu’être unique. Cette pratique invite à rencontrer aujourd’hui, à deux et non seul, nos grandes vulnérabilités du passé. Elle nous invite à inscrire de nouvelles configurations sur des zones parfois extrêmes. L’intelligence relationnelle ouvre, dans l’ici et le maintenant et dans l’être-là partagée, un accès au cœur de soi à une présence curieuse, ouverte et pleine de compassion.
Mon engagement vis-à-vis de vous
Mon engagement dans un travail continu en supervision, en formations et en thérapie personnelle fait partie des garants de mon éthique de travail.
